Voici que vient pour moi le temps de fêter le passage d’une nouvelle année. Si je ne m’en soucis pas (encore), ceux qui me sont proches persistent à vouloir marquer le coup.
La plupart du temps, la simple évocation de la formule consacrée suffit amplement. Et parfois, un cadeau vient agrémenter la banalité d’usage… 😉
Cette année, mon Marcus favori s’est penché sur la question en m’offrant ce bouquin au titre plus qu’intrigant. La légende urbaine veut que le texte original a été placé anonymement sur la toile.
J’apprends par ces même bruits de couloirs que le contenu du bouquin en fait un véritable concentré de la culture pop-rock des cinquante dernières années.
En me renseignant plus avant, il semble tout de même que l’auteur soit parfaitement connu de l’éditeur original, en Angleterre. Il n’est pas si fou, s’il veut percevoir ses royalties… 😉